lundi 7 mai 2007

Ma vie en poesie

Quand amour rime avec toujours

Quand amitié rime avec éternité

Quand cœur rime avec bonheur

Quand douceur rime avec fleur

Quand tendresse rime avec caresse

Quand émotion rime avec passion

Quand poésie rime avec magie

Quand foi rime avec joie

Et quand joie rime avec toi

C’est tout simplement mon ami

Quand ma vie rime avec poesie...

12 commentaires:

Anonyme a dit…

Un vrai rayon de soleil dis-je !!!

J'aime entendre chanter tes mots little sister.
Tes mots parlent d'amour, de fraternité de joie, d'espoir, de respect. J'aime passer dans tes mots et je me dis c'est merveilleux d'entendre battre un coeur comme le tien.
Tu es une belle rencontre et tu me permets de découvrir que ma vie rime avec poésie. Merci à toi Princesse Peule

natty a dit…

Merci ma soeur. C'est toujours un plaisir de te lire !
C'est drole j'ai beaucoup hesité à poster ce poeme (il est vieux en plus) je le trouve trop "petite maison dans la prairie" comme dirait grand corps malade (mais dis moi je ne t'ai pas encore saouler avec grand corps malade ? Prepares toi je viens a l'attaque lol); mais rien que pour ton si joli commentaire je le reposterai volontier encore et encore hihihi
grosse bises

Anonyme a dit…

J'aime beaucoup le peu qe je connais de Grand Corps Malade. Tu peux me saouler...
bisous

Anonyme a dit…

Hé ben c'est super beau ! Bravo Natty !

natty a dit…

Merci beaucoup Brigitte ! Et merci de ta visite. Je decouvre la "saveur tendresse" avec plaisir. Ca m'a l'ai bien delicieux :-)

TrippleX a dit…

Hey belle bouffée d'amour ton texte, Merci !

Anonyme a dit…

Great work.

natty a dit…

@oette : thanks ! im discovering your blog.i'll be back

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

LA POESIE RONGEE PAR SES VERS

La poésie de nos jours, surtout la poésie d'auteurs inconnus, est tombée en totale désuétude.

Par le simple fait que n'importe qui écrive de la poésie aujourd'hui, autant dire tout le monde, elle ne vaut plus rien. La poésie de nos jours ronronne. Et lorsque la rime pour se démarquer cherche à aboyer, hurler, rugir, elle ne fait que lamentablement braire : la corde poétique a été archi usée depuis un siècle. Ecrire en vers, c'est mal écrire.

Défenseurs des Lettres, au lieu de vous alarmer du déclin de l'intérêt du public pour les ouvrages de rimes, huez plutôt les derniers poètes qui s'ingénient à parasiter la littérature de leurs "admirables inspirations" couchées à travers recueils, feuillets et autres minces supports voués à une glorieuse mais -Dieu merci !- hypothétique postérité ! Compatissez au sort que réservent ces méchants poètes à leur lectorat sombrant dans une fatale léthargie au contact de leurs rêveries nombrilistes... La poésie en vers est bel et bien morte, et c'est tant mieux !

Le naufrage de cette poésie maintenue sous perfusion dans les cercles ultra confidentiels, autarciques et sclérosés n'en est que plus pathétique : chaque jour ressuscitée grâce au mirage de l'auto congratulation entre adeptes, elle perd progressivement en crédibilité.

La poésie, je veux dire la poésie versifiée, ne vaut rien si elle n'est pas baudelairienne.

Personnellement j'ai la décence et le bon goût de ne pas versifier afin de ne pas faire mourir d'ennui mes lecteurs. N'oublions pas que le versificateur se fait surtout plaisir à lui-même. J'ai compris depuis longtemps que la poésie versifiée ne valait rien si elle n'était pas baudelairienne. Ou hugolienne.

Bref, un Dupont qui versifie n'est qu'un tueur de poésie.

Le versificateur à notre époque n'est qu'une plume décidément bien légère cherchant à donner corps à ses jolies niaiseries et fausses profondeurs -qui ne sont que fosses- auprès d'un lectorat aussi minoritaire que complaisant. Je considère la poésie versifiée contemporaine comme de la masturbation littéraire dans sa grande majorité.

La vraie poésie versifiée est avant tout une technique. Elle doit se distinguer des poisseux, pesants, maladroits mouvements du coeur en mettant en avant le caractère aérien d'une technique parfaitement mâitrisée porteuse de messages limpides, essentiels, digestes et non pas remorquer de manière informe les surcharges de l'âme en proie à ses délires "nombrilistiques"...

L'authentique poésie est un dessert léger qui s'apprécie à petites doses (et encore, pas tous les jours !) au lieu de cette habituelle mélasse tantôt insipide, tantôt écoeurante.

En un mot, Verlaine ou rien !

C'est cela avoir le sens de la littérature et de la poésie : savoir se taire pour laisser les maîtres perdurer. Ce que je fais précisément en ne versifiant JAMAIS. D'autres l'ont fait avant moi bien mieux que je ne saurais le faire, alors pourquoi s'ingénier à faire moins bien ?

Raphaël Zacharie de IZARRA

Dupont a dit…

Ah ! Monsieur Raphaël Zacharie de IZARRA manie l'art de la concision et du paradoxe pour mépriser l'indécence d'un Dupont versifiant, à qui il octroie juste la capacité de s'élever, tout couvert de mélasse, en un digne lecteur et partager ainsi son plaisir solitaire. Mais pourquoi ne se tait-il pas non plus pour laisser parler les maîtres de la prose ?

Anonyme a dit…

Tu sais Dupont, Baudelaire, en son temps, fut sûrement le Dupont d'un Izarra qui lui expliquait que Racine avait déjà tout fait...

nisyshy a dit…

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